Festival Atlantique des arts martiaux… Quelle merveilleuse soirée au Zénith de Nantes plein comme un œuf !
De toutes les soirées que j’ai pu animer (Paris-Bercy, espace Tony Garnier…) ces 30 dernières années, ce fut sans doute la plus belle, car des coulisses à la lumière, une poignée de fous bénévoles passionnés (Ligue FFK des Pays de la Loire et Comité Départemental 44) nous a fait toucher du doigt le secret du bonheur. Tous les acteurs (inclus le public), nous ont montré que séparer les rêves et la vie, c’est renoncer à changer les choses. En nous faisant passer du rêve à la réalité, ce festival a redonné l’envie à l’envie de retrouver la voie des dojos, celle qui nous invite à vivre nos rêves en couleurs pour donner un sens à notre existence. Quoique de plus beau que ces milliers d’étoiles dans les yeux des enfants présents hier soir, qui se reflétaient dans ceux de leurs parents ! A l’heure où certains hommes s’évertuent à élever des murs, je suis vraiment très fier d’avoir humblement participé à la construction d’une passerelle aux côtés d’anonymes, experts et champions, qui d’un seul homme, ont prouvé hier soir que l’impossible n’existe uniquement parce que nous n’essayons pas de le rendre possible. Encore mille mercis à toutes ces personnes qui font que le rêve dévore notre vie avant que la vie ne dévore notre rêve.
Pour conclure, je vais vous citer une anecdote pleine de bon sens, signée John LENNON. A l’école, son instituteur lui demanda :
– « John, que veux-tu faire quand tu seras plus grand ? »
– « Moi Monsieur, Heureux tout simplement ».
– « Ah je crois John que tu n’as pas compris la question… »
– « Si Monsieur, mais je crois que vous n’avez pas compris la vie »
Ce premier chapitre de ce festival Atlantique qui se referme, prouve que rien n’est impossible ; seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables.
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